Au programme …
- 1. Oubliez votre pouvoir, et confiez-le à un sauveur extérieur
- 2. Confiez les rênes de votre vie à votre mental et à vos peurs
- 3. Refusez d’apprendre les leçons de la Vie et verrouillez-vous !
- 4. Confiez votre alimentation à l’industrie agro-alimentaire
- 5. Niez les signaux de votre corps
- 6. Remettez vos émotions sous le tapis
- 7. L’accusation d’autrui, une alliée de choix sur laquelle on peut toujours compter !
- 8. Fuyez l’Amour
Dans cet article, nous allons voir exactement l’inverse de ce qu’il faut faire pour rester sur le chemin de la santé et du bonheur…
Vous l’aurez compris, nulle idée ici de se moquer de qui que ce soit, mais simplement de voir de manière humoristique les attitudes à éviter lorsque nous voulons guérir ou rester en bonne santé.
Je suis d’ailleurs moi-même passée par la quasi-totalité de ces écueils, sauf peut-être le dernier ! Je pense que si nous sommes honnêtes avec nous-mêmes, ce qui est une belle qualité pour évoluer, nous verrons que nous passons tous plus ou moins par chacun de ces pièges à un moment ou à un autre. Tout simplement parce que nous sommes humains !
En lisant, vous repérerez sûrement vous aussi vos points à améliorer, ainsi que ceux que vous avez déjà bien intégrés.
Tout au long de cet article, nous aurons comme fil rouge un contre-exemple, celui de Reid Henson. Reid a souffert d’une forme particulière de leucémie, avec un pronostic ne lui laissant aucune chance de survie. Pour guérir « envers et contre tout », il a donc suivi l’exact opposé de ces principes. Il relate son parcours de guérison hors norme dans le livre « L’aventure d’une guérison », co-écrit avec le Dr Carl Simonton, cancérologue connu comme l’un des pionniers de l’approche holistique.
Bonus non négligeable : ces principes sont valables pour la santé physique, mais aussi pour la santé mentale, relationnelle et même financière ! 😉
Premier principe : Oubliez votre pouvoir, et confiez-le à un sauveur extérieur
La première clé pour rester en mauvaise santé est de nier notre sagesse intérieure, et de considérer que les réponses et la guérison sont à l’extérieur.
Quelque soit le type de soins et le thérapeute choisi, qu’il soit médecin, grand ponte ou énergéticien, il va donc falloir activer le mode victime/sauveur.
Pour cela, vous serez aidé par le modèle médical classique, qui ne vous encouragera que très rarement à une approche responsable et holistique. Le vocabulaire médical lui-même allant dans le sens d’un certain type de relation : le patient subit des examens, est soumis à un protocole, le médecin fournit une ordonnance. Cela peut aussi, parfois, glisser vers l’abus d’autorité, comme ce patient du Dr Bernie Siegel, qui avait eu l’audace de proposer à son précédent médecin une approche alternative en complément de ses traitements, et s’était vu répondre : « Le patron, ici, c’est moi ! »
Ainsi, vous déposerez tout votre pouvoir aux pieds des autorités médicales, sans prendre votre part de responsabilité. Et si vous voulez rester en mauvaise santé, vous aurez raison de prendre ce chemin, car certaines études ont montré que les patients rebelles et prenant pleinement part à leur processus thérapeutique guérissent mieux que les patients obéissants…
En effet, si la médecine peut nous sauver la vie en cas d’urgence, et c’est merveilleux, son approche se révèle souvent insuffisante dans le cas d’une maladie chronique. C’est quelque chose que Reid Henson a vite compris. Il explique avoir réalisé qu’il lui faudrait jouer le rôle principal pour regagner la santé.
Il ajoute en parlant de son équipe médicale : » Je ne les ai pas considérés comme une autorité suprême pour ma santé. Après tout, ils n’avaient affaire qu’à l’aspect physique de la maladie de Reid, alors que moi je m’attachais aussi à m’occuper de de ses aspects mental et spirituel. Ils ne m’avaient pas rendu malade. Je pensais donc qu’ils n’avaient pas toutes les clés pour me ramener à la santé ». Il a donc considéré ses médecins comme des partenaires et non comme des sauveurs tout puissants, et il ne s’est pas déconnecté de sa guidance intérieure.
Deuxième principe : Confiez les rênes de votre vie à votre mental et à vos peurs
« Une punition devait détruire ma vie. La leucémie semblait tout à fait appropriée.« Voilà ce dont Reid était persuadé avant de travailler sur son mental et ses croyances.
Quelques mois avant de tomber malade, il avait même vu un article décrivant les ravages de la forme particulière de leucémie dont il était atteint, et s’était dit : « Voilà exactement ce que je mérite d’avoir pour avoir gâché la vie de mon fils ». En effet, à l’époque, son fils se droguait, et il s’était persuadé d’en être à 100% responsable.
Heureusement, il n’en est pas resté là, et n’a pas laissé les choses être dirigées en roue libre par son mental. Il a au contraire effectué un important travail sur ses croyances, ses blessures et sur sa connexion spirituelle. Progressivement, il a pris ses décisions depuis l’espace du cœur, plutôt que depuis sa peur ou sa culpabilité. Ce fut, selon lui et le Dr Simonton, un élément essentiel de son retour à la santé.
La psychoneuroimmunologie, science qui étudie les relations entre notre psychisme et notre système immunitaire, a montré que la joie est guérisseuse. Ainsi, plus vous mettrez vos rêves au placard, moins votre corps recevra d’énergie vitale. Vous aurez moins envie de vivre, et votre système immunitaire le reflètera.
Comment s’assurer ce genre d’existence ? C’est très simple, il y a deux conseillers de choix à privilégier : le mental et la peur. Ils s’entendent d’ailleurs à merveille, et quand vous convoquez l’un, l’autre n’est jamais très loin.
Il suffit donc de ne jamais écouter sa petite voix qui vous murmure des idées de changement, des idées joyeuses. Il faut toujours écouter et suivre celle qui vient après. Vous savez, celle qui dit « oui, mais… »
Qui es-tu pour imaginer ça ? Tu n’en es pas capable. On va se moquer de toi. C’est de la folie. Tu n’es qu’un imposteur. Tu ne retrouveras jamais personne. Tu as tant de chances de t’en sortir, ce sont les statistiques. A ton âge, tu ne vas pas faire ça. Tu n’es pas assez intelligent. Pas assez créatif. Tu vas être rejeté. Contente-toi de ce que tu as.
En général, notre mental nous déroule le film jusqu’à notre ruine financière et notre mort. Persuadez-vous donc que ce film est la seule possibilité, sans aucune alternative possible. Ne cherchez pas de solutions, ni de scénarios alternatifs. Voyez tout échec comme la confirmation que vous ne valez rien. Gardez bien active la croyance que la Vie est contre vous, et entourez-vous de personnes qui vous le confirmeront. Ecoutez les informations télévisées en boucle, pour être certain de vous imprégner de toutes les croyances collectives de peur.
La peur vous mènera sur des chemins de résistance au flux de la vie. Vous ne vivrez pas, vous survivrez. Et votre corps le reflètera !
Le paradoxe, c’est qu’en croyant vous protéger, vous vous attirerez au final plus de difficultés, car la Vie est mouvement et n’aime pas la stagnation. A vous donc de bien choisir votre principal interlocuteur…
« C’est impossible, dit la Fierté
C’est risqué, dit l’Expérience
C’est sans issue, dit la Raison
Essayons, murmure le Cœur »
William Arthur Ward
Troisième principe : Refusez d’apprendre les leçons de la Vie et verrouillez-vous !
Assez vite au cours de sa maladie, Reid Henson, a adopté une perspective profitable pour la guérison : celle, comme il la nomme lui-même, d’étudiant de la vie.
Cette optique permet de considérer tout évènement, y compris la maladie, comme une occasion d’apprentissage. Elle est dynamisante, car apprendre est beaucoup plus puissant que subir ! Nous ne pouvons pas à la fois être la victime et l’élève de nos maux.
Ainsi, le le Dr John Diamond explique « J’espère voir la fin des patients et le commencement des étudiants : voulant apprendre sur eux-mêmes, voulant s’aider eux-mêmes à être en aussi bonne santé physique, mentale et spirituelle que possible ».
Il va donc falloir prendre le contre-pied de cette attitude. Pensez que vous êtes incapable de faire face à la situation, afin de vous assurer de demeurer dans un sentiment d’impuissance, reconnu comme très toxique pour notre santé. Ne cherchez pas d’aide. Maudissez vos parents et votre créateur, n’agissez pas, et ruminez, ruminez, ruminez.
Il vous faudra aussi rester prudemment à l’écart de toute source d’information positive : vidéo, article de blog, livre, récit de N.D.E. ou de guérison, qui pourrait vous transmettre l’idée qu’il y a des solutions inédites, et que lorsque nous vivons une situation, c’est qu’au fond nous sommes prêts à la transmuter pour passer au niveau supérieur de notre évolution.
Refusez d’accepter ce qui est, battez-vous de toutes vos forces contre ce que la vie vous présente. Fuyez l’inconnu, accrochez-vous à vos habitudes avec détermination. Considérez que vous n’avez plus rien à apprendre, et restez dans la colère et l’amertume envers la vie.
Quatrième principe : Confiez votre alimentation à l’industrie agro-alimentaire
4 kg d’additifs par personne et par an…c’est ce qu’un occidental ingère en moyenne dans son alimentation. De nombreuses études, comme celles du Dr Belpomme, indiquent que la toxicité de notre alimentation est une des grandes causes de l’explosion des cancers. Ce que nous mettons dans notre assiette est crucial.
L’avantage de ce principe est qu’il agit à tous les niveaux : physique bien-sûr, mais aussi sur le plan émotionnel, mental et spirituel. Il sera donc à privilégier en premier lieu. Et ne vous en faites pas, cela ne devrait pas être difficile, car les industriels ont tout prévu : il y a tout ce qu’il faut pour nous rendre accro dans la nourriture industrielle !
Ils ont aussi eu la gentillesse d’ajouter un ingrédient indispensable pour nous faire plaisir…j’ai nommé le sucre blanc 💙. Tellement réconfortant, plus addictif que la cocaïne, il vous fera tout oublier, pendant une heure ou deux, et vous donnera une étrange énergie.
Alors fuyez le bio, qui n’est qu’une arnaque pour les bobos. L’alimentation vivante, les légumes et fruits crus ? Dérives sectaires et pratiques d’illuminés ! Et trop long à préparer…
Diminuer le fromage, la viande, et les viennoiseries du matin ? Certainement pas, hors de question de modifier mes habitudes ! Ces aliments endorment si bien mes émotions…après en avoir consommé, pendant un temps je me sens bien, ou du moins, je ne sens plus rien. Alors pourquoi m’en passer ?
Ok, vous êtes sur la bonne voie… 😉
😇Astuce Bonus : Il est possible de rajouter un zeste de toxicité supplémentaire à tout cela avec de la culpabilité lorsque nous faisons des écarts !
Reid Henson, quant à lui, a bien sûr modifié son alimentation pour guérir. Mais il ne s’est pas pour autant emmuré vivant dans un carcan. Il s’est écouté. Parfois, il a senti l’appel de manger de la viande, et il l’a fait. Parfois, l’appel de jeûner, et il l’a fait. Notre corps sait ce dont il a besoin, si nous réapprenons à lui faire confiance, à l’écouter, et à faire la différence entre les besoins réels du corps et les besoins émotionnels de nourriture grasse et sucrée.
Cinquième principe : Niez les signaux de votre corps
Le corps serait-il plus intelligent que la médecine ne le croit ? Ses symptômes auraient-ils un sens ? Obéiraient-ils finalement à une logique qui dépasse nos modèles médicaux classiques ?
C’est la conclusion que tirent à l’heure actuelle de nombreux médecins et anciens malades ayant franchi le cap de l’approche holistique. Ils comprennent que le symptôme n’est pas là par hasard, mais qu’il cherche à expulser des toxines hors de notre corps, à exprimer ce que nous ne voulons pas voir, ou à résoudre un conflit interne.
Ainsi, avant de développer une maladie importante, le corps a souvent parlé à plusieurs reprises par des petits symptômes ou un mal-être. Si l’on coupe ces manifestations parce qu’elles nous dérangent, on empêche le corps de « sortir ses poubelles ». Cette attitude, répétée plusieurs fois, peut conduire à des maladies chroniques plus graves.
A l’inverse, si nous prenons l’habitude de dialoguer avec notre corps, d’écouter ses messages et de lui envoyer de l’amour, il nous répond par une meilleure santé.
Ainsi, Reid Henson a changé sa relation avec son corps. Il s’est employé à ne plus voir ses symptômes comme des ennemis, mais comme des indicateurs, le renseignant sur ses progrès, résistances, blocages, besoins…il s’est mis à l’écoute de son intelligence corporelle pour soutenir son processus de guérison.
Alors, comment s’engager à coup sûr sur la pente glissante de la santé déficiente ? C’est assez simple : un voyant rouge s’allume sur le tableau de bord de votre organisme, et ça vous dérange. Le corps a l’art de parler toujours au mauvais moment, n’est-ce pas ? Alors, allez au plus simple et au plus radical, et cassez l’ampoule ! Faites taire le symptôme, pour que votre corps continue de vous obéir.
Tirez sur la corde, tenez à coup de stimulants, ne dialoguez pas avec votre corps. Considérez le comme une machine qui doit vous obéir à tout prix. N’écoutez pas ses besoins de ralentir ou de jeûner. Gardez le pied enfoncé sur l’accélérateur en permanence, considérez le repos comme une perte de temps. En bref, malmenez votre corps en oubliant son intelligence, et n’ayez aucune gratitude envers lui de faire de son mieux pour vous servir depuis toutes ces années…
Sixième principe : Remettez vos émotions sous le tapis…
J’ai bien entendu que mes émotions seraient des messages, qu’il serait peut-être utile de les accueillir, de les écouter, et pourquoi pas, de répondre aux besoins qu’elle me signalent. Mais c’est tellement inconfortable, que je préfère ne pas me risquer à ce petit jeu. Et si elles me demandaient de changer des choses dans ma vie ?
Et si je commençais à pleurer, et que je ne puisse plus m’arrêter ?😱
Décidément, tout ceci est effrayant…n’est-ce pas plus sécurisant et valorisant socialement de me montrer fort et résistant ? On m’a dit que les hommes ne pleurent pas, et que c’est vraiment moche une petite fille en colère😡…
Le mieux est donc de me coller un grand sourire artificiel sur le visage, et de planquer tout le reste sous le tapis. Le passé est passé, à quoi bon y revenir ? Si je n’y pense plus, cela n’existe plus.
Cette attitude constitue une sorte d’autoroute vers la maladie. Vous stockerez toutes vos poubelles émotionnelles dans la mémoire de votre corps, qui n’oublie rien. Vous créerez des blocages dans la circulation de votre énergie, dans vos méridiens et vos chakras. Vous diminuerez l’efficacité de votre système immunitaire, et vous serez de plus en plus fatigué. Et au bout d’un moment, vous n’aurez plus vraiment envie de vivre. Alors, comme votre corps est obéissant, il fera en sorte de vous aider à quitter cette vie.
Reid a ainsi effectué un important travail sur ses émotions. Il a appris à toutes les accueillir, sans jugement. Il a cherché à voir ce qu’elles voulaient lui dire, quels besoins elles mettaient en lumière. Il a également cherché quelles étaient les croyances qui étaient à l’œuvre derrière elles. Tout ce cheminement l’a transformé en profondeur.
(Si vous êtes nouveau par ici, et que vous ne voulez pas tomber dans les pièges décrits plus haut avec vos émotions, vous trouverez sous cet article un guide à télécharger, qui vous donnera les clés pour utiliser sainement toutes vos émotions, et savoir créer à la demande des émotions guérisseuses.)
Septième principe : l’accusation d’autrui, une alliée de choix sur laquelle on peut toujours compter !
Ces collègues qui vous pourrissent la vie, votre patron qui ne reconnaît pas la qualité de votre travail, votre ex qui vous a largué par sms, votre copine du lycée qui vous a fait une crasse impardonnable…que la liste est longue pour toute une vie, n’est-ce pas ?
Le pardon ? C’est pour les faibles, et il est hors de question de pardonner tant qu’ils ne se seront pas d’abord excusés ! Le seul souci, c’est qu’avec ce raisonnement, vous faites dépendre votre bien-être de l’évolution de conscience de votre agresseur… et vous risquez d’attendre longtemps.
Comme l’a dit Bouddha, refuser de pardonner à quelqu’un, c’est comme boire tous les jours un verre de poison en s’attendant à ce que ce soit l’autre qui tombe malade…
Il est tout à fait possible que ces gens se soient effectivement mal comportés, voire abominablement mal. Mais lorsque nous nous focalisons exclusivement sur la colère et l’accusation, nous oublions notre pouvoir personnel.
C’est ce qu’a compris Reid au cours de son processus de guérison : « J’avais l’habitude bien ancrée de reprocher aux autres les problèmes que je traversais dans la vie. C’était dangereux, car tandis que je reprochais aux autres mes malheurs, je ne faisais rien, ou presque, pour résoudre mes problèmes. »
Huitième principe : fuyez l’Amour
Nous avons gardé le meilleur pour la fin, puisque nous arrivons ici au principe le plus puissant. S’il fallait n’en retenir qu’un, ce serait celui-ci, car sa puissance est colossale. Il a, ni plus ni moins, la capacité d’envoyer un message de mort et de destruction à notre corps.
Ainsi, le cardiologue Dean Ornish explique dans son livre « Amour et Survie » comment il a soigné des centaines de patients atteints de pathologies cardiaques, sans chirurgie ni médicaments, mais avec des changements du psychisme axés sur l’amour et la gestion du stress, l’alimentation et l’exercice physique. Il conclut suite à ses vingt ans de recherche et de pratique en cardiologie que le facteur décisif pour la santé n’est ni le stress, ni l’alimentation, ni la qualité des soins médicaux, ni l’exercice physique, ni les facteurs génétiques, mais bel et bien le sentiment d’être aimé et soutenu.
L’amour correspond à l’information de la santé parfaite. Il envoie un message de santé et de vie à nos cellules. Il stimule notre système immunitaire de la manière la plus puissante qui soit.
Ainsi, afin de vous assurer un taux vibratoire au plus bas et de bonnes chances d’être malade, il va donc falloir entretenir des pensées de haine envers vous-même. Il conviendra de vous trouver trop gros, trop maigre, en détresse capillaire…votre corps reçoit tous vos messages, donc abreuvez le de messages négatifs. Comparez-vous, dénigrez-vous, vous serez sûrs de déranger ses fonctions. Soyez intransigeant envers vous-même, ne vous pardonnez aucun faux pas ou erreur, afin d’entretenir une saine culpabilité.
Fermez votre cœur par peur d’être blessé, et privilégiez les relations toxiques : personnes qui parlent beaucoup mais n’écoutent pas, prennent sans rien donner, manipulateurs, ou même pervers narcissiques. Renforcez vos croyances négatives vis-à-vis de vous-même et des autres en ne cherchant pas en vous ce qui attire ce type de personnes. Persuadez-vous que vous ne valez pas mieux, et ne cherchez pas d’aide.
C’est, comme vous vous en doutez, la voie inverse qu’a empruntée Reid Henson. Il a replacé l’amour au centre de son existence, en s’attelant à dissoudre ses propres résistances à l’Amour. Il témoigne de sa transformation : « Plus mon niveau de compréhension s’améliorait, plus la vie se remplissait de merveilles et de beauté. Je commençais à faire l’expérience de l’amour envers l’univers, envers la vie, envers autrui ».
Le mot de la fin…
Ces 8 principes fonctionnent plus puissamment lorsqu’ils sont appliqués ensemble, car ils ont la faculté de se renforcer mutuellement. Leur application au quotidien demandera certes une certaine vigilance, mais les résultats sont garantis 😉.
Et si jamais vous voulez découvrir en détail le parcours de Reid, voici le livre :
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Merci Anne
Je vous lis toujours avec autant d’intérêt et de plaisir
Josyane
Merci Josyane 🙂 !
Anne,
Je lis toujours avec beaucoup d’intérêt vos articles qui sont tellement riches et aidant.
Merci à vous pour ces envois.
Gratitude
Dominique
Merci beaucoup Dominique ! 🙂
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